Nous aurons aussi de beaux jours

We Will Also Have Beautiful Days

Éditions des femmes

dogan-zehra-nous-aurons-aussi-de-beaux-jours-cv.jpg

Traduit du turc - Translated from Turkish : Naz Öke & Daniel Fleury

10/2019
224 pages + photos

[AVAILABLE] Droits étrangers
Foreign Rights

Sold for: Italian and German


Synopsis

Écrits de prison

Ce livre rassemble les lettres que l’artiste et journaliste militante kurde Zehra Dogan, durant ses 600 jours d’incarcération, a adressées à son amie Naz Öke, journaliste turque vivant en France et animatrice, avec Daniel Fleury, du webzine Kedistan pour la liberté d’expression.
Cette correspondance passionnée révèle une femme d’une générosité et d’une énergie exceptionnelles, une artiste surdouée, une poétesse, mais aussi une fervente militante pour la liberté des femmes et les droits des Kurdes, soucieuse des autres et du monde.
« Je pourrais te raconter tout ce qui se passe ici mais les mots me manquent pour te parler du chant de ces femmes. Pourtant, leurs voix qui s’élèvent depuis ces quatre murs et s’accrochent aux barbelés sont celles qui expriment le mieux l’emprisonnement. Ces voix, que la pluie accompagne, nous frappent au visage et chantent la révolte de l’emprisonnement, dans toute sa nudité. » (10 décembre 2018)

Writings from Prison

This book is the collection of the letters that the Kurdish artist and militant journalist Zehra Dogan sent to her friend Naz Öke (Turkish journalist and militant for freedom of expression) during her 600 days of imprisonment. It is a passionate correspondence, that reveals a woman of exceptional generosity and energy, a gifted artist, a poet, but also a fervent activist for women's freedom and the rights of the Kurds, a force of nature concerned about others and the world.
"I could tell you everything that's going on here, but words fail to tell you about the song of these women. Yet their voices that rise from those four walls and cling to the barbed wire are the ones that best express imprisonment. These voices, accompanied by rain, hit us in the face and express the revolt of imprisonment, in all its nakedness." (December 10, 2018)

Auteurice - Author

Journaliste et artiste plasticienne, Zehra Dogan a fondé JINHA, la première agence d’information de femmes en Turquie. Arrêtée en 2016 après la tentative de coup d’état elle a été incarcérée entre juin 2017 et février 2019.
Elle a le soutien du PEN Club et d’artistes comme Ai Weiwei et Banksy (qui a réalisé une fresque “Free Zehra Dogan” à NY en 2018.) Ses oeuvres sont exposées à la 11e biennale de Berlin et à Milan. La BD commencée en prison dont les planches étaient exposées à la Biennale de Berlin sera publiée par Delcourt en mars 2021.

Journalist and visual artist, Zehra Dogan founded JINHA, the first women's information agency in Turkey. Arrested in 2016 after the attempted coup, she was imprisoned between June 2017 and February 2019.
She is supported by the PEN Club and artists such as Ai Weiwei and Banksy (who did a
"Free Zehra Dogan" mural in NY in 2018). Her art is currently exhibited at the 11th Berlin Biennale and in Milan. The graphic novel she worked on in prison that was featured at the Berlin Biennale will be published by Delcourt in March 2021.

Plus d’infos - More info

“Réussir à rester libre en prison, c’est ce qu’a fait Zehra Dogan. Récit lumineux.” - Radio Télé Suisse
”C’est dit, c’est écrit. C’est à lire. Peut-être au moins autant pour le courage de cette femme que pour la voix de toutes les femmes qu’elle a croisées au long d’un vécu fait de bombes et de sang.” - Mediapart
”Zehra Dogan dit toute la puissance créatrice des femmes et leur formidable aptitude à la résilience.” - Cheek Magazine

"Endeavouring to stay free in prison, that is what Zehra Dogan has done. A luminous narrative" - Radio Télé Suisse
"It is said, it is written, it has to be read! As much for the courage of this woman as for the voices of all the women whose paths she crossed on this journey littered with bombs and blood" -
Mediapart
"Zehra Dogan expressed women's creative power and their formidable aptitude for resilience." -
Cheek Magazine

Previous
Previous

Le Boys Club

Next
Next

Hétéro, l’école?