La Terreur féministe
The Feminist Terror
Éditions Divergences
Essai - Essay
02/2021
128 pages
[AVAILABLE] Droits étrangers
Foreign Rights
Synopsis
Petit éloge du féminisme extrémiste
« Le féminisme n'a jamais tué personne. » Cette phrase est brandie depuis des décennies par le discours féministe majoritaire. Comme si les féministes cherchaient à rassurer un patriarcat pétri d’angoisse, ou à appuyer l’idée – déjà bien répandue – qu’une femme ne pas faire peur, qu’une femme ne peut pas être dangereuse. Mais est-il vrai que le féminisme n’a jamais tué personne ?
Elles s’appellent Maria, Noura, Judith, Diana, Christabel. Elles ont fait usage de la violence contre le patriarcat. Elles ont touché au grand tabou. Pour nourrir une réflexion sur la place de la violence dans la lutte contre le patriarcat, Irene nous raconte l’histoire de ces femmes violentes.
An Ode to Extremist Feminism
« Feminism never killed anyone »
This phrase has been brandished for decades as part of the feminist discourse of a majority. It’s as if feminists were trying to reassure an anxiety fraught patriarchy or underline the - already widespread - idea that a woman cannot be frightening or cannot be dangerous. But is it true that feminism never killed anyone?
Their names are Maria, Noura, Judith, Diana, Christabel. They used violence against patriarchy. They addressed the great taboo. Irene tells us the story of these violent women to nourish a reflection on the place of violence in the fight against the patriarchy.
Auteurice - Author
Irene, – prononcé Iréné - 21 ans, a grandi dans un mélange de cultures espagnole, basque et française. En 2017, elle s’installe à Paris et se lance dans le militantisme féministe. En parallèle, elle transforme son compte Instagram (52 000 abonnés) en outil de démocratisation d’idées. Elle participe au mouvement des collages contre les féminicides.
Irene, – pronounced Iréné - 21 years old, has grown up in a mix of French, Basque and Spanish cultures. In 2017 she moved to Paris and became a feminist activist. At the same time, she decided to use her Instagram account (now oucnting 52,000 followers) as an ideas platform. She participates in the collage movement against femicides.